Autorisation consentie pour photos ?

Je voulais savoir s'il vous est arrivé pour prendre une photo (hors droit à l'image des gens en street ou autre) de carrément demander l'autorisation (bâtiments industriels, privés, lieux désaffectés et clôturés, installations portuaires, etc etc... et surtout quelles ont été les réponses et réactions, et si ça a abouti à une autorisation enthousiaste ou à un "jetage" en bon uniforme avec chiens et menaces !   

Les exemples seront les bienvenus

Je m'inscris, ça m'intéresse !

Moi aussi !!!

Il me semble que c'est Squirrel qui a justement vraiment l'habitude de demander autorisation aux gens qu'il prend en photo dans la rue, avant ou après avoir prit la photo, quitte à la supprimer si la personne refuse...
Il t'expliquerai mieux que moi mais ça fait un moment qu'on ne l'a pas vu sur ce forum j'ai l'impression...(mais il en parle déjà dans son article des membres à l'honneur il me semble)

Squirrel est sur le forum fuji depuis un moment (quand il a switché sur Fuji), avec le meme avatar.

C'était surtout pour des lieux fermés au public, des endroits où on suppose pouvoir faire des photos sympa, mais où on n'entre pas "comme ça" (sauf en coupant le grillage, mais c'est pas l'objet !
je ne voulais pas relancer le pb du droit à l'image qui a été abondamment traité, je pense par exemple aux sites industriels, ou privés mais abandonnés, etc....
Quand à Squirrel, ça fait un moment non (dernière visite le 25.11.13 9:33 !) ? depuis une histoire de feuille   

Altreize2 a écrit:

Quand à Squirrel, ça fait un moment non (dernière visite  le 25.11.13 9:33 !)  ? depuis une histoire de feuille   

Je ne voudrais pas repondre à sa place , mais je crois qu'il n'a plus posté depuis qu'il a fini de vendre son matos. Peut etre le 25-11?

ça serait plus logique s'il avait vendu aussi son PC !   

Bon, ben attendons de savoir si quelqu'un a tenté et réussi une "négo" pour obtenir un droit de photo la où le photographe ordinaire n'a pas le droit de mettre les pieds !

j'ai fait des photos dans une morgue : Demande a l’hôpital, droit de vu sur le projet RAS
Des photos dans des lieux privés : Demande au proprio, avec projet, but et type de diffusion : la c'est plus mitigé, certains disent oui, d'autres non....
Eglise, si personne je demande rien, si le curé est la je demande gentiment, jamais aucun refus, juste des rappels de savoir vivre (inutile pour moi)

après sur les événementiels, les gens sont plus réactifs et c'est eux qui viennent nous voir pour savoir si on les a pris en photo et surtout ou ils pourront les voir...

voila ma petite expérience.

Ok merci, ça confirme un peu ce que je pense, si on respecte la propriété physique, foncière ou intellectuelle des gens, y'a nettement plus de chance que ça passe que de s'en passer et tenter de se justifier...après !
C'est non plus un gage systématique !

Perso un seul refus dans un ancien fort transformé en site industriel, on m'a dit non, propriété privé, je suis reparti. Dans les salons ou expos je demande toujours à l'entrée, rarement refusé -flash interdit- (sauf certains musées équipés de panneaux indicateurs)

J'ai fait des photos dans une entreprise de récupération : autorisation demandée à l'accueil et acceptée mais sans pouvoir les mettre sur le net…  J'espérais que l'entreprise changerait d'avis en voyant les photos mais ça n'a pas été le cas. Du coup, ça me fait une belle jambe   mais j'aurai essayé !

Pour photographier des lieux abandonnés (Urbex) c'est souvent la galère pour savoir qui est le proprio !
Généralement je photographie (sans couper de grillage, sans entrer par effraction) et si je sais à qui ça appartient, je demande...   peut-être !
En fait j'ai demandé une seule fois et ça m'a été refusé pour les photos d'intérieur, mais comme des travaux avaient commencé, je pense que la proprio ne voulait pas que par mégarde, le bureau de la conservation des sites tombe dessus. (J'ai quand même gardé les images, elles restent témoin de quelque chose qui a disparût.)

P.S. les photos du lien qui est en signature, je les ai faites sans rien demander, et comme j'ai pu vendre le reportage, c'est le journal qui a obtenu les autorisations de publier.