Vaste débat, une chose est sure, le rejet par la majorité de beaucoup de faits qu'elle ne veut pas avoir à gérer au niveau de son intellect (pour ceux qui en sont dotés, les autres sont à l'abri ) , investiguer, douter ou s'indigner enclenchent des mécanismes de rébellion ou d'action, et la majeure partie des gens ne veulent pas gérer cet état de fait dans leur quotidien déjà bien rempli.
Pour ce qui est du sujet, (et je ne retrouve plus cette photo de smartphone) j'ai vu et photographié un "trail" juste en face de la côte qui avait la particularité d'être une succession de 4 tickets de métro avec autant de vide entre les pleins (à peu de chose), évidemment avec la perspective les tirets avaient une déformation en losange, je me suis demandé pourquoi il n'y avait rien ni avant ni après bien que ça s'estompait un peu, mais c'était persistant au centre sur fond de ciel bleu
la question que je me suis posé, c'est "dans la mesure ou ce sont des contrails, est ce qu'un avion peut couper ou réduire plusieurs fois ses moteurs en plein vol et conserver une trajectoire constante, et si oui pourquoi ? "
Ce n'était qu'une simple constatation visuelle en allant bosser vers 14h que j'ai réussi à prendre en photo en me garant vite fait sur un parking
Oui déjà vu. Défois ils épandent s'arrête et bombarde plus loin. Moi j'ai vu mieux a Toulouse juste a coté de l'aeroport, un avion a 100 m d'altitude prêt a l’atterrissage qui a oublié de fermer les vannes et qui continuer d'épandre. Et je peux assurer que ce n'était pas de la condensation et encore moins a cette altitude. Il y a que ce qu'ils veulent vraiment savoir qui finisse vraiment par s'apercevoir de telle chose.
BJ 46 32 Gb
Nombre de messages : 5961 Age : 75 APN : apprenti FZ 1000, Ex FZ 200, FZ 38 . Dépt. ou Pays : 46, LOT, CAHORS Date d'inscription : 26/12/2011
J'ai un peu plus de recul que toi et t'assure que le ciel laiteux ne date pas d'hier ! Par ailleurs, à 190 Km à vol d'oiseau du Pic du Midi, il m'arrive encore de distinguer la chaîne des Pyrénées et même les Monts d'Auvergne sous certaines conditions, en hiver généralement .
Citation :
l'ombre prouve bien que le soleil passe peu ou pas.
À ton avis, qu'est-ce qui fait que le dessous des nuages soit souvent gris foncé ? Et la faible luminosité quand le ciel est couvert ?
Citation :
On va pas me dire que des milliers d'araignée ce sont mise a travailler la nuit.
Ben si, justement, certains jours, il arrive qu'on puisse voir des multitudes de fils de la vierge briller au soleil matinal .
Persuadé que l'homme est capable surtout du pire, je veux bien admettre qu'ils fassent des épandages, ce qui ne se lit peut-être pas assez dans mon 1° message, mais pas gratuitement !!!
Citation :
a Toulouse juste a coté de l'aeroport, un avion a 100 m d'altitude prêt a l’atterrissage qui a oublié de fermer les vannes
En termes aéronautiques, on appelle ça un "délestage" lorsqu'il doit se poser pour éviter d'être trop lourd, donnée établie par le constructeur d'une part et la DGAC pour l'aérodrome, où il est précisée une charge maximale par roue simple isolée ( sic ) .
CarpoDingo Vainqueur de concours 6x
Nombre de messages : 13701 Age : 40 APN : K3 II, K1-II et des cailloux Dépt. ou Pays : 09 Date d'inscription : 18/04/2015
J'ai un peu plus de recul que toi et t'assure que le ciel laiteux ne date pas d'hier ! Par ailleurs, à 190 Km à vol d'oiseau du Pic du Midi, il m'arrive encore de distinguer la chaîne des Pyrénées et même les Monts d'Auvergne sous certaines conditions, en hiver généralement .
Citation :
l'ombre prouve bien que le soleil passe peu ou pas.
À ton avis, qu'est-ce qui fait que le dessous des nuages soit souvent gris foncé ? Et la faible luminosité quand le ciel est couvert ?
Citation :
On va pas me dire que des milliers d'araignée ce sont mise a travailler la nuit.
Ben si, justement, certains jours, il arrive qu'on puisse voir des multitudes de fils de la vierge briller au soleil matinal .
Persuadé que l'homme est capable surtout du pire, je veux bien admettre qu'ils fassent des épandages, ce qui ne se lit peut-être pas assez dans mon 1° message, mais pas gratuitement !!!
Citation :
a Toulouse juste a coté de l'aeroport, un avion a 100 m d'altitude prêt a l’atterrissage qui a oublié de fermer les vannes
En termes aéronautiques, on appelle ça un "délestage" lorsqu'il doit se poser pour éviter d'être trop lourd, donnée établie par le constructeur d'une part et la DGAC pour l'aérodrome, où il est précisée une charge maximale par roue simple isolée ( sic ) .
Oh mais je n'ai pas dis le contraire BJ bien sur que le ciel laiteux ne date pas d'hier. Les gens ont commencer a ce poser des question début des années 90. Mais a partir du moment ou il est provoquer par des avions il n'y a rien de naturel. Et oui moi aussi j'arrive a voir les montagnes sous certaines conditions. Aprés je dis pas que c'est forcement a cause des épandages que défois c'est tout brumeux. Oui les fils de la vierge BJ Les fils de la vierge qui descende du ciel a trés haute altitude. Meme en plein hiver quand les araignées sont a l'abris. On se reveil au petit matin et bizarrement des millions d'araignées ce sont mise a travailler dans la nuit. Des fils d'araignée que l'on retrouve par millier sur les fils de pilonne et poteaux electrique sur les toitures des immeubles et des maisons dans les champs sur les voitures la route. Meme quand il y a pas de vent. Les araignées ont beau dos un moment donné faut être réaliste. Pour ce fameux delestage c'est bien la première fois que je voyais ca... Tu dis qu'il doit y avoir moyennement finance pour certaines chose je suis d'accord avec toi mais ils ont pas forcement besoin de ça... La nano technologie ca te parle ? La geo ingenierie ? C'es fils qui tombe du ciel qui se regroupe pour former une toile d'araignée ? La maladie des Morgellon ? Je peux poussé le bouchon plus loin on pourrait parler de Tesla et ses expèriences qui lui ont été volé et utilisé a grande ampleur par certaines organisation ou branche de l'armée. On peut parler du Projet HAARP, Projet Blue Beam, agir sur le climat, provoquer des tremblements de terres, creer des evenènements dans le ciel, des hologrammes a trés grande échelles, des oiseaux ou des poissons mourant par millions a differents endroits de la terre sur quelques jours d'intervalle, On peut parler des OVNI qui existe mais que tout le monde prend pour des extraterreste (les premiers essai d'ovni date de la seconde guerre mondial par les allemands sous le régime nazi)... Tout ca font parti de la puissance des hommes des derniers jours tout de quoi faire perdre la foi d'un plus grand nombre et se sentir puissant. L'orgueil des hommes qui veulent etre comme Dieu...
Altreize2 Très Actif
Nombre de messages : 19511 APN : E-M1 / 12-40 / 40-150 / 60 macro/ 45-175 Dépt. ou Pays : 13 Date d'inscription : 15/02/2012
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Jeu 4 Mai 2017 - 21:47
J'ai retrouvé ma photo par hasard, je n'ai que les derniers parce qu'elle est prise en voiture par le fenêtre passager en m'arrêtant en pleine rue, et le smartphone ne cadrait pas assez large pour voir les autres avant qui étaient cachés par les arbres
Je n'ai aucune idée de ce qu'a fait le pilote avec la commande des gaz, il a plané entre les tirets ? et si c'était dû aux conditions météo, c'est une météo à l'équerre et à la règle alors !
CarpoDingo Vainqueur de concours 6x
Nombre de messages : 13701 Age : 40 APN : K3 II, K1-II et des cailloux Dépt. ou Pays : 09 Date d'inscription : 18/04/2015
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Ven 5 Mai 2017 - 17:00
Il cest peut etre tromper sur la zone de la larguage... Bon en tout cas on peut eliminer encore une fois la condensation; On vient bien que ca commence a s'etaler. Une photo une demi heure aprés aurait été intérréssant.
CarpoDingo Vainqueur de concours 6x
Nombre de messages : 13701 Age : 40 APN : K3 II, K1-II et des cailloux Dépt. ou Pays : 09 Date d'inscription : 18/04/2015
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Dim 25 Juin 2017 - 13:59
Une photo pour les sceptiques.
Lavardin 32 Gb
Nombre de messages : 3368 Age : 95 APN : OMD EM5 Mk2 - Fuji 3D W3 Dépt. ou Pays : 17 Date d'inscription : 02/12/2012
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Mar 27 Juin 2017 - 9:28
Dédié à CarpoDingo:
Clic ici !
CarpoDingo Vainqueur de concours 6x
Nombre de messages : 13701 Age : 40 APN : K3 II, K1-II et des cailloux Dépt. ou Pays : 09 Date d'inscription : 18/04/2015
Meilleure preuve ? Comme quoi on peut faire dire aux images ce que l'on souhaite qu'elles disent !
Dans les années 70, en pleine guerre froide, j'avais fait un vol Washington DC - Paris Orly à bord d'un quadriréacteur soviétique (Ilyouchin 62 ?), faute de place sur les lignes plus conventionnelles. Ces vols Washington - Moscou faisaient une escale à Paris et ce jour là j'étais le seul passager occidental perdu au milieu de fonctionnaires de l'Ambassade d'URSS. Gâté par les hôtesses qui m'avaient gavé de zakuskis et de vodka ! Cette entrée en matière pour raconter que les WC arrières, en raison de la courbure prononcée du fuselage, avaient un hublot permettant de voir à l'infini le sillage de l'avion. Et bien, à cette époque où les chemtrails n'avaient pas encore été inventés, le sillage de l'avion ressemblait à s'y méprendre à celui de la video !
Pour moi cette video montre le sillage habituel d'un avion en haute altitude, dans des conditions prise de vue inhabituelles et surtout de lumière favorable à une bonne mise en relief... Rien de plus !
Altreize2 Très Actif
Nombre de messages : 19511 APN : E-M1 / 12-40 / 40-150 / 60 macro/ 45-175 Dépt. ou Pays : 13 Date d'inscription : 15/02/2012
Hier au dessus de chez moi la météo était telle que tous les avions qui passaient (à 5 minutes d'intervalle) à haute altitude dans le même couloir aérien laissaient tous le même sillage persistant pour une même durée et un même étalement, ce ne pouvait bien évidemment pas être une usine à Chemtrails issues de toutes les compagnies civiles de la terre.
Par contre il n'y avait aucun étalement extrême comme on peut le voir dans certains exemples, les trainées dérivaient (donc vent) s'étalaient un peu, mais pas en draps de plusieurs dizaines de km, et s'effaçaient quand même à la longue.
Sans tomber dans les extrêmes on peut être prudent sur l'utilisation des systèmes d'épandages qui eux sont bien réels, mais pour épandre quoi et où ?
Voir les tests de la CIA sur les populations civiles pour ceux qui ont été déclassifiés dans les 40 dernières années, les gens qui pensent qu'il existe des limites dans certains cerveaux (au niveau de la sainte morale ) se mettent le doigt dans l'œil à des profondeurs insondables, selon les buts à atteindre il n'y a purement et simplement aucune limite dans les moyens à utiliser, c'est valable pour les terroristes comme pour les grandes puissance, seule la com change.
Nier le tout blanc ou tout noir n'est qu'un outil de sauvegarde de sa propre conscience.
hamael 2 Gb
Nombre de messages : 285 Age : 39 APN : GX80 12-32mm 3,5-5,6, 25mm 1,4 (+ OLY E510) Dépt. ou Pays : 69 - près de Lyon Date d'inscription : 11/09/2016
C'est aussi plus facile de croire que si tout est pourri c'est de la faute des grandes puissances et non de notre mode de vie. Des ciels laiteux sont souvent la résultant de la pollution que nous générons.
Altreize2 Très Actif
Nombre de messages : 19511 APN : E-M1 / 12-40 / 40-150 / 60 macro/ 45-175 Dépt. ou Pays : 13 Date d'inscription : 15/02/2012
C'est aussi plus facile de croire que si tout est pourri c'est de la faute des grandes puissances et non de notre mode de vie. Des ciels laiteux sont souvent la résultant de la pollution que nous générons.
Rien n'est facile quand on se penche sur le triste sort de l'humanité, mais dans ce cas, il ne s'agit pas d'opposer la pollution bien réelle que nous participons tous à créer (enfin ...pas tous pareil ) et les traces dans le ciel dont certaines peuvent ouvrir une part de doute
BJ 46 32 Gb
Nombre de messages : 5961 Age : 75 APN : apprenti FZ 1000, Ex FZ 200, FZ 38 . Dépt. ou Pays : 46, LOT, CAHORS Date d'inscription : 26/12/2011
Les longs courriers volent au niveau de la tropopause pour l'efficacité donc l'économie des moteurs et profiter des jet-streams (courant-jet ) favorables .
Comme le dit très bien l'ami AL13², le vent fait le reste et il peut varier de 0 à plus de 200 Km/h, ce qui occasionne des phénomènes très variés démontrés par les nuages, entre autres ( cirrus, lenticulaires ... ) qui expliquent largement les différences observables de l'étalement et la dérive des traînées .
Les traînées "naturelles", liées à la température, sont toujours à une altitude supérieure à 10 Km ( - 56.5 °C ).
Les couloirs aériens font le reste ( cartes DGAC ) .
Je ne nie toujours pas l'existence des dits chem...
ebindidon Vainqueur de concours 1x
Nombre de messages : 5829 Age : 73 APN : GX8, G9, E-M1-II+III,20P, 25 Nokton, 45M, 9-18, 12-100, 14-140, 40-150+MC14&20, 100-400, Dépt. ou Pays : 57-74 Date d'inscription : 26/05/2010
Je ne nie toujours pas l'existence des dits chem...
Qui nécessitent tout de même, outre quelques conditions physico-chimiques un peu compliquées, qu'un vaste complot mondial ait réussi dans la totalité des pays du monde, qui seraient d'accord sur ces opérations sans exception et sans concurrence ou divergence d'intérêts, à circonvenir des dizaines (voire centaines) de milliers d'employés des compagnies aériennes, des constructeurs d'avions et de leurs milliers de sous-traitants, des services d'aéroports, des douanes, des polices d'aéroports, des sociétés de transport et de livraison, des usines chimiques, des agences publiques et privées de météorologie, des agences gouvernementales et non gouvernementales de mesures de l'atmosphère et j'en passe, sans qu'aucun de ces centaines de milliers d'individus n'ait jamais rien dit, fut-ce sous le coup d'une cuite, d'un dépit amoureux ou professionnel (il y a un exemple non vérifiable d'ailleurs et comportant des invraisemblances plus haut), d'une maladresse, d'une mort proche ou de simple bêtise ou ignorance.
Je note au passage que la fameuse "analyse des chemtrails" évoquée plus haut, qui ne cite d'ailleurs aucune source ou méthode scientifique et énonce quelques âneries, provient d'un site aux odeurs un peu discutables... : http://www.anti-monde.gerardcambri.com/index.htm qui démontre (presque) que madame Aigneré aurait été quasi assassinée pour l'empêcher de dénoncer la présence parmi nous des extra terrestres, le tout au cri de "Marine, tiens bon !".... Comme référence scientifique, on doit pouvoir faire mieux.
David Vincent aussi, les a vus.
Pour moi, de toutes les photos de ce fil, je n'en vois aucune qui montrerait autre chose que des trainées de condensation (y compris parfois en pointillés dans des couches d'inversion) composées de flotte gelée, telles que je les observe avec attention et passion depuis que j'ai l'âge de regarder en l'air, et ça fait un bail.
Se documenter sur les routes aériennes, les niveaux de vol et la façon de les utiliser permettra à tout un chacun de revenir sur terre (c'est le cas de le dire). Il arrive aussi que des avions laissent des trainées de condensation en bouts d'ailes notamment au décollage comme à l'atterrissage, en particulier sous les tropiques, l'avion très froid arrivant dans les basses couches humides sans qu'il s'agisse de répandre des substances suite à un oubli du pilote (!) de fermer une vanne dont on nous explique ailleurs qu'il en ignore l'existence et qu'elle est télécommandée depuis on ne sait où. C'est même très courant, faire un tour sur les sites de photo spécialisés (Airliners.net, Jetphotos,net, etc... est édifiant à ce sujet).
Les vrais complots sont toujours plus simples que ça, la théorie du même nom ayant toujours le même mécanisme : "c'est vrai puisque vous ne pouvez pas prouver que ça ne l'est pas". Ce truc a permis de tuer des millions de gens dans les années 40.
J'en resterai là de cette histoire complètement HS.
ebindidon Vainqueur de concours 1x
Nombre de messages : 5829 Age : 73 APN : GX8, G9, E-M1-II+III,20P, 25 Nokton, 45M, 9-18, 12-100, 14-140, 40-150+MC14&20, 100-400, Dépt. ou Pays : 57-74 Date d'inscription : 26/05/2010
Preuve des magnifiques vortex d'un très gros avion en descente dans une masse d'air humide. Au pire, ça prouve juste que le temps va bientôt changer...
S'il s'agissait d'épandage, il faudrait pour produire le même effet des dizaines de tonnes de produit que l'avion ne transporterait pas en plus de son carburant et de sa charge payante...
HS : OFF
Altreize2 Très Actif
Nombre de messages : 19511 APN : E-M1 / 12-40 / 40-150 / 60 macro/ 45-175 Dépt. ou Pays : 13 Date d'inscription : 15/02/2012
Il faut toujours se garder une petite marge d'incertitude, c'est ce que j'essaie de faire en évitant de systématiquement me rassurer en rationnalisant tout ce que je peux , mais je suis quand même d'accord avec toi avec un constat malheureux : Il y a beaucoup de braves gens qui soutiennent des thèses possiblement valables mais les argumentent avec de quoi les discréditer sans trop de mal, ceci souvent par manque de connaissances techniques diverses et nécessaires ou par reproduction de lien ou lecture sans faire aucune vérification
Il est évident que si épandage il y a, techniquement on sait faire :
La suite ici pour les réservoirs :
et je précise que la page a été trouvée au hasard (pour les tofs) et que je sais que certains réservoirs sont la pour faire des essais de répartition de charge en vol pour faire voyager les masses, d'autre de l'épandage insecticide, mais sans doute pas tous sur ces photos
Quand à utiliser des vols militaires hors trafic civil, on sait faire aussi, je connais quelqu'un qui a participé à la couverture radar aérienne lors de la guerre de Yougoslavie, il m'avait raconté comment il voyaient parfois des avions US en dessous d'eux "quitter" les convois d'autres avions pour se poser sans explication en terrain ennemis, et ces mêmes avions étaient "récupérés" dans les convois retours, même eux ne savaient rien de ces mic mac totalement en off !
Donc en résumé, je suis sûr que s'il fallait pulvériser quelque chose quelque part sans que ça fasse trop de bruit, c'est tout à fait possible.
la question serait plutôt pulvériser quoi et pourquoi
Lavardin 32 Gb
Nombre de messages : 3368 Age : 95 APN : OMD EM5 Mk2 - Fuji 3D W3 Dépt. ou Pays : 17 Date d'inscription : 02/12/2012
A ceux qui souhaiteraient identifier une trainée "suspecte" au dessus de leur tête: Voir le site Flightradar24.com qui montre, pour le monde entier, la position en temps réel (ou presque) de tous les aéronefs civils, leur altitude, vitesse air et sol, et bien d'autres paramètres y compris leur identification.
Bémol: Ne prend pas en compte les vols militaires.
Je crois bien me souvenir que c'est bien avant WW2 que CHEZ NOUS on ensemençait les nuage avec de l'iodure d'argent balancé à pleines poignées depuis un coucou osant s'aventurer auprès d'un cumulo-nimbus... Le but était - si j'ai bonne mémoire - de faire pleuvoir plutôt que de recevoir des grêlons gros comme des œufs ! La CIA/NASA n'a donc rien inventé... Cocorico !!!
Alligator427.67 Vainqueur de concours 2x
Nombre de messages : 61802 Age : 60 APN : GX8, FZ300 , TG-5, Pentax W60, Coolpix 5700, Finepix Z2 Dépt. ou Pays : Alsace Date d'inscription : 31/07/2017
A ceux qui souhaiteraient identifier une trainée "suspecte" au dessus de leur tête: Voir le site Flightradar24.com qui montre, pour le monde entier, la position en temps réel (ou presque) de tous les aéronefs civils, leur altitude, vitesse air et sol, et bien d'autres paramètres y compris leur identification.
Bémol: Ne prend pas en compte les vols militaires.
Je crois bien me souvenir que c'est bien avant WW2 que CHEZ NOUS on ensemençait les nuage avec de l'iodure d'argent balancé à pleines poignées depuis un coucou osant s'aventurer auprès d'un cumulo-nimbus... Le but était - si j'ai bonne mémoire - de faire pleuvoir plutôt que de recevoir des grêlons gros comme des œufs ! La CIA/NASA n'a donc rien inventé... Cocorico !!!
C'est ce que je disais, il y a bien entendu des épandages divers et variés connus ou pour expérimentation, d'où les systèmes existants pour les réaliser, mais ça ne prouve rien non plus sur la véracité des Chemtrails
La majeure partie des photos de chemtrails sont des contrails baptisés chemtrails par de simples flèches ! D'où le discrédit facile quand on voit que pour un bi réacteur on a 2 trainées ... de réacteurs
Mais quand on voit ce dont est capable le bonhomme moyen (voir les essais grandeur nature de la CIA sur l'humain dans les années passées) on peut garder une marge de doute et ne pas se fier aveuglement au bon sens ou à la norme, une certaine partie des gens n'ont pas ces critères en magasins
Alligator427.67 a écrit:
Chemtrails, nuages ou magie de Ste Odile, patronne de l'Alsace ?
pas de blague douteuse sur ce topic gravissime (peut être ?)
andros74 Vainqueur de concours 1x
Nombre de messages : 2552 Age : 73 APN : GH3 GX8 GM1 Dépt. ou Pays : 74 Date d'inscription : 26/07/2013
J'aime bien la prudence d'Altreize sur le sujet, ainsi que la volonté de ebindidon de trouver des éléments solides. Je ne vois pas une théorie du complot dans les chemtrails, plutôt une rumeur: trop d'acteurs potentiels, pas assez de confidences. Laissons la porte ouverte, il y aura peut-être un courant d'air.
On fait un tour par les araignées ?
En 2013, la vallée du Rhône avait connu des chutes importantes de "fils de la Vierge ou cheveux d'ange". Très désagréable sur un crâne chauve ! J'avais retrouvé mes archives, les voici: d'abord un extrait d'un livre de Durand (Robert Laffont) des années 70.
A quoi ça ressemble ?
Je reviens avec deux autres documents.
andros74 Vainqueur de concours 1x
Nombre de messages : 2552 Age : 73 APN : GH3 GX8 GM1 Dépt. ou Pays : 74 Date d'inscription : 26/07/2013
Les morceaux verts proviennent d'un banc de jardin, le fil les a arrachés quand je l'ai récupéré à Vernioz, (3km de Reventin-Vaugris). Ce fil ne se sublimait pas, comme dans d'autres cas:
"Cheveux d'ange" sur l'aérodrome de Reventin-Vaugris le 18 octobre 1954
Heure non précisée, après-midi, immédiat Sud de Vienne. "Nous vîmes d'abord", rapporte M. Lelandais, moniteur à l'aéro-club de Vienne, (Reventin-Vaugris NDR), "des formes blanches qui semblaient mener dans les nuées une espèce de ballet, montant, descendant, remontant, changeant de forme, mais se rapprochant peu à peu du sol. Une demie-heure après, ce fut une sorte de pluie de toiles d'araignées qui arriva serrée comme un voile sur l'aérodrome. Il en tombait par poignée sur le terrain (...) Nous avions l'impression de tenir des fils de cahoutchouc très fins, très doux au toucher, qui s'aggloméraient pour aussitôt se sublimer." Source: Combat et La Croix du 20-10-1954 Catalogue Vallée cas n°282, Aimé Michel in "A propos des SV", LDLN n°69
Et voilà une vraie perle datant d'avant 1900 ! Un peu long mais vous avez tout le temps. Tout ce qu'il fallait savoir à l'époque sur les fils d'araignées.
DUBOSC, Georges (1854-1927) : Les fils de la Vierge (1899). Saisie du texte : S. Pestel pour la collection électronique de la Médiathèque André Malraux de Lisieux (20.IX.2008) Texte relu par : A. Guézou Adresse : Médiathèque André Malraux, B.P. 27216, 14107 Lisieux cedex -Tél. : 02.31.48.41.00.- Fax : 02.31.48.41.01 Courriel : mediatheque@ville-lisieux.fr, [Olivier Bogros] obogros@ville-lisieux.fr http://www.bmlisieux.com/ Diffusion libre et gratuite (freeware) Orthographe et graphie conservées. Première parution dans le Journal de Rouen du 17 septembre 1899. Texte établi sur l'exemplaire de la médiathèque (Bm Lx : norm 1496) de Par-ci, par-là : études d'histoire et de moeurs normandes, 7ème série, publié à Rouen chez Defontaine en 1929. Les fils de la Vierge par Georges Dubosc ~*~ C’est toujours un merveilleux spectacle que celui de l’automne en nos campagnes normandes. Tandis qu’à l’horizon, la forêt jaunissante, tachée de pourpre par endroits, forme une toile de fond au décor splendide, en avant les près, au soleil levant, étincellent de mille feux produits par la rosée. Dans les herbes et dans les chaumes brillent d’innombrables filaments, soyeux et légers, sur lesquels les gouttelettes de la rosée miroitent encore plus vivement. De loin, pour le chasseur qui traverse la plaine, ou pour le petit soldat en manoeuvres de septembre, on dirait un immense tapis blanc reflétant les rayons du soleil, tandis que sur la route ces mêmes fils, si fins, si ténus, si souples, si argentés, accrochés aux arbres, flottent et ondulent dans l’air matinal.
Bientôt, on en est couvert. Ces légers filaments adhèrent aux vêtements, aux chapeaux de paille ; les uns viennent se fixer contre le visage et produisent une sensation légère qui, à la longue, finit par devenir agaçante ; les autres, plus ténus, passent au-dessus de votre tête, emportés par la brise. La campagne en est toute blanche et le paysan, les voyant s’élever de tous côtés, pense en lui-même : « L’hiver sera dur cette année ». Ils portent un nom bien gracieux, ces filaments ondoyants que l’automne nous envoie. Dans toutes nos vieilles provinces françaises, ce sont les Fils de la Vierge. C’est, suivant les antiques légendes, les fils provenant de la quenouille de la mère de Jésus-enfant. Pendant qu’il sommeille, la Vierge assise les file de ses doigts menus au bout de son fuseau, et les laisse s’éparpiller dans l’air, pour rendre plus chaud, l’hiver, le nid des oiselets. Telle est la version normande ; mais en d’autres pays, la légende devient plus sombre. Le « fil de la Vierge » serait destiné à tisser le linceul de mort des miséreux qui tombent abandonnés au coin d’un bois, au revers du talus d’un fossé, le long de la grande route. Ce ne serait plus, comme la morne chanson des Tisserands, de Gérard d’Hauptmann, le pauvre artisan qui, lui-même, tisserait son drap funèbre ; c’est la Vierge mère qui prendrait souci de cette tâche. A l’un des derniers salons, le peintre F. Lucas avait donné une nouvelle version de la légende. Marie, humble, candide, s’est endormie sur la terrasse que dore le soleil couchant. La nuit vient. Un vol de bergeronnettes s’est abattu autour du rouet silencieux et, becquetant la laine blanche, elles emportent les fils ténus pour les semer dans la campagne aux branches des buissons. Quoi qu’il en soit, riante ou sombre, la légende existe, et le « fil de la Vierge » est entouré, dans nos campagnes, d’une sorte de superstitieux respect.
Notre siècle positif, qui difficilement admet ces contes symboliques, a voulu savoir le pourquoi exact de ces filaments épars et volants, leur nature, leur origine. Il a voulu savoir ce qu’était le mystérieux « fil de la Vierge », et il a trouvé qu’il était en tous points semblable aux fils des toiles d’araignée que nous voyons dans les vieux greniers et dans les coins où le plumeau de la ménagère va les déloger sans souci de la bestiole qui les a tissés ; s’ils sont plus blancs, plus argentés, c’est tout simplement qu’ils ont été filés en plein air, au soleil, loin des poussières qui les souillent en nos logis.
Ainsi que l’a démontré, le premier, le naturaliste Latreille, ces fils sont dus à une aranéide tendeuse et fileuse, connue en France sous le nom d’épeire diadème ou araignée de jardin. Elle est roussâtre, veloutée, avec un abdomen très volumineux, portant sur le dos une triple croix jaune ou blanche. C’est elle qu’on rencontre fréquemment à l’automne dans nos jardins, où elle tisse de larges rosaces verticales. Pour cela, elle secrète sa soie par quatre mamelons, qui sont eux-mêmes percés d’une infinité de petits trous.
Chose curieuse, très étrange, et qui montre l’infinie variété de la nature : il ne faudrait pas croire que le fil de l’araignée, qui nous apparaît si mince, si fin, que nous ne pouvons point concevoir ténuité plus grande, soit un fil unique. Pas du tout ! Il est composé, tout comme un fil métallique de pont suspendu, d’une centaine de fils plus déliés, qu’on peut seulement apercevoir au microscope, avec de formidables grossissements. Ce sont les produits de cette mystérieuse tréfilerie qui forment, en s’agglutinant, le fil unique, élastique, avec lequel les araignées ourdissent leurs toiles. Tout à l’heure, elles étaient des industriels et des filateurs admirables, elles deviennent maintenant des artistes incomparables et de merveilleuses dentellières. Leurs rosaces tissées constituent des chefs-d’oeuvre d’architecture aérienne, et elles savent mieux qu’un géomètre insérer des polygones dans un cercle et calculer la distance des rayons qui partent de centre pour aboutir à la circonférence. Comment se tisse, comment se construit une toile d’araignée, celle, par exemple, de l’épeire diadème, dont nous parlons en ce moment, car les réseaux des aranéides varient souvent suivant les espèces ? Un observateur français, M. Simon, a voulu le savoir, et il a fait pour les pauvres aragnes ce que John Lubbock a fait pour les industrieuses fourmis, et voici ce qu’il nous raconte : Posée à l’extrémité d’une branche, l’araignée lance à l’aventure un premier fil, qui se balance et que le moindre vent, qui ne ferait pas rider la face de l’eau, suffit pour accrocher. Alors, après avoir prudemment agité le fil pour savoir s’il est suffisamment solide, la bestiole se hasarde sur ce pont suspendu, le parcourt dans sa longueur, le fixe à la branche par une goutte agglutinante. Elle attache ensuite un nouveau fil au premier, se laisse tomber verticalement, en déroulant son peloton, jusqu’à une brindille inférieure, où elle consolide ce second élément de la toile. Elle continue ainsi jusqu’à ce qu’elle ait déterminé un point central à l’aide de savantes intersections et jusqu’à ce qu’elle ait fait partir, de ce centre aux extrémités, des rayons divergents. Quand elle a ainsi bâti - par triangulation - cette délicate et frêle charpente, elle unit chaque rayon par des fils circulaires et concentriques. Alors, repartant du point central, elle file en spirale, lentement, un nouveau réseau plus serré et plus fin, et ainsi, peu à peu, la toile prend l’aspect d’une transparente et parfaite rosace de dentelle. Une toile, ainsi tramée, de trente-six à trente-neuf centimètres de diamètre, renferme d’après des calculs vérifiés, près de cent vingt mille noeuds minuscules. Ces fils, qui entrent dans la construction de la toile, ne sont pas tous de même nature. Les fils qui constituent la grande corde transversale, la corde verticale et les rayons sont d’une soie qui est sèche dès qu’elle sort de la filière. Au contraire, ceux qui constituent les cercles sont d’une soie qui reste assez longtemps agglutinante, propriété précieuse, car elle permet au fil de contracter une adhérence complète avec les rayons.
Cette toile si délicate est un piège, un rets tendu pour que viennent s’y prendre les bestioles que guette l’épeire diadème, tapie sous une feuille ou dans un coin voisin. Si d’occurrence une mouche vient se jeter dans la trame, avertie par l’ébranlement des fils qui relient sa toile, l’araignée, qui est une vraie bête de proie, se précipite et s’élance. Sa vie est faite, en effet, d’attaques et d’embûches, d’attente et de luttes hasardeuses. Pour avoir de quoi manger, il lui fait tendre sa toile, et pour trouver la matière qui secrètera ses fils, il lui faut manger. Sans toile, point de mouches, et sans mouches, point de toile ! C’est le struggle for life dans toute sa hideur. Toutes ces terribles araignées carnivores et dévoreuses appartiennent, du reste, au sexe faible. Elles seules travaillent, elles seules ourdissent et trament les toiles ; le mâle, lui, ne fait rien de ses huit pattes ! Il flâne, il se promène, cherche sa vie en expédients. Rôdeur d’amour, quand il veut s’approcher de la terrible araignée, il n’est point toujours bien reçu, et ce n’est pas sans crainte qu’il s’aventure sur l’échelle de soie ! La mégère ne se laisse point toujours apprivoiser par les propos galants de l’amoureux. Bien souvent, elle le tenaille entre ses pattes, l’assassine, et Roméo est souvent dévoré par Juliette. Nous voilà loin, n’est-il pas vrai, des poétiques « fils de la Vierge », et la réalité ne répond guère à la légende !
Les épeires ne sont pas seules, au surplus, à filer les « fils de la Vierge ». D’autres espèces, comme les Thomisses, et surtout les Théridies fabriquent aussi leurs longs filaments, entraînés par les brises. Celles-là filent moins régulièrement, elles se contentent de lancer d’une branche à l’autre, d’une herbe à une brindille voisine, quelques fils lâches, au bout desquels elles se suspendent. Elles procèdent sans ordre régulier, sans méthode ; ce ne sont plus les incomparables architectes et géomètres dont nous parlions tout à l’heure. Les Théridies mettent cependant un peu plus d’habileté dans la construction de leur nid. Souvent elles bornent leur besogne aérienne à étendre des fils isolés, en long et en large, en hauteur et en profondeur, mais souvent aussi les espèces qui filent le plus abondamment, confectionnent une sorte de baldaquin, au-dessous duquel elles établissent une petite toile rayonnée, horizontale. C’est leur poste d’observation, placé au-dessous de leur piège, et d’où elles s’élancent pour monter à l’assaut quand quelque mouche s’est laissé prendre à… l’étage supérieur. C’est à ce genre de Théridies qu’appartient le malmignathe, dont on redoute en Toscane la prétendue morsure venimeuse, comme on craint dans la Pouille, celle de la tarentule. Seulement, on n’en guérit point de même façon : tandis que la piqûre de la malmignathe se guérit avec un peu d’acide phénique, si jamais elle a causé le moindre mal, les gens « piqués de la tarentule », les tarentulati, doivent pour se débarrasser de leurs insomnies, de leurs courbatures…, de leur araignée dans le plafond, danser jusqu’à épuisement des forces, jusqu’à ce qu’ils tombent, abattus, sur le sol. Et c’est pour aider à cette médication chorégraphique - vous ne vous en doutez peut-être pas - qu’on a inventé… la tarentelle !
Comme on le voit, venimeuses ou pas venimeuses, ce sont de maîtresses fileuses que les araignées. Mais à quoi peuvent bien servir leurs fils, ces fils légers et voltigeants ? On pourrait répondre, tout d’abord,… à elles-mêmes puisqu’ils constituent leurs pièges et leurs garde-manger… mais ils sont utiles aussi à d’autres. Sans parler de leurs qualités hémostatiques, de leur propriété d’arrêter le sang des coupures, sans compter l’usage qu’on fait des toiles d’araignée pour métamorphoser les litres de vin ordinaire, très ordinaire, en Château-Margeaux authentique, prouvant sa vieillesse par l’aspect poussiéreux de sa bouteille, les fils d’araignée ont des utilisations plus pratiques et plus sérieuses. C’est d’eux dont on se sert pour former les réticules micrométriques, extrêmement fins, qui sont placés sur le miroir des lunettes astronomiques. Ces fils, qui servent à déterminer les hauteurs des astres, ont besoin d’être fort légers, fort délicats et nul mieux que le fil de l’araignée, le « fil de la Vierge » ne convient à cet emploi. A l’Observatoire, pour constituer ces réseaux de quatre ou cinq fils, barrant le champ de la lunette, on ne se sert pas d’autre chose que du léger tissu arachnéen. Le procédé dont usent, par exemple, les frères Henry, les savants astronomes, qui sont en train de dresser la carte du ciel, est, à ce sujet, fort curieux. Le fil d’araignée dont ils se servent est justement… le « fil de la Vierge », le fil de l’épeire des jardins, appelée aussi quelquefois Porte-Croix. C’est lui si fin, si ténu, si délicat qui forme le réseau des lunettes. Ne croyez pas qu’on utilise pour cet emploi un fil quelconque, extrait du cocon de certaines araignées. Non, le fil employé est pour ainsi dire… vivant ! Pour procéder à cette opération, tout aussi difficile que le fixage des fils métalliques du Pont-Transbordeur, on conserve l’araignée fileuse dans une petite boîte de carton, percée de trous, en lui donnant, de temps à autre, une mouche pour nourriture. Peu à peu, elle s’apprivoise fort bien, et, après quelques jours de captivité, elle vient au bout de vos doigts, chercher le repas que vous lui présentez. Ce qui prouve - entre parenthèses - que l’anecdote de Pellisson, cet ami de Fouquet, dressant, dans sa prison, des araignées… savantes, n’est pas tout à fait une fable. Après avoir eu soin de tracer à la machine, sur le réticule du micromètre de la lunette astronomique, quelques sillons parallèles, vous prenez un crayon sur lequel vous placez l’araignée. Celle-ci ne tarde pas à se suspendre à son fil, qu’elle tient elle-même verticalement, le poids de son corps tendant le filament comme un fil à plomb. On présente alors le fil ainsi tendu dans le sillon gravé qu’il doit occuper sur le réticule et on le fixe en haut et en bas, au moyen d’une goutte de résine fondue à l’extrémité d’une pointe. On se sert quelquefois à la place des fils d’araignée, de fils métalliques spéciaux. C’est ainsi qu’on use du fil de platine de Wollaston, directement étiré à la filière, puis enveloppé d’une gaîne d’argent qui le pressure, le rend encore plus ténu et qu’on fait disparaître dans un bain d’acide nitrique. C’est ainsi qu’on se sert - toujours pour les réticules des lunettes astronomiques - de fils de maillechort, qu’on étire en les faisant passer dans des filières de rubis ou de diamant. Mais au bout du compte, rien n’atteint l’extrême ténuité du « fil de la Vierge » et l’industrie humaine est vaincue là par la simple nature. Les fils métalliques sont des câbles à côté des fils d’araignée. Le fil de platine de Wollaston, vu au microscope, tout comme le fil de maillechort, offre des diamètres de 1/50 de millimètre, tandis que le fil d’araignée, beaucoup plus mince que ses rivaux et beaucoup plus lisse, n’atteint pas 1/100 de millimètre !
Voilà une première utilisation, mais il y en a d’autres plus étonnantes. Que diriez-vous, par exemple, de tissus et d’étoffes en fils d’araignée ? Il y en a eu et il y en a encore en ce moment même. Le premier qui s’avisa de confectionner des tissus avec des fils d’araignée fut un M. Bon, marquis de Saint-Hilaire, baron de Fourques, seigneur de Colleneuve, Saint-Quintin et autres lieux, conseiller du roi, qui, en 1710, était président de la Cour des Aides et Chambre des Comptes de Montpellier. Il fabriqua avec la soie des araignées des bas et des mitaines d’une jolie couleur grise, et a résumé, dans une dissertation publiée en 1726, son originale découverte. Il envoya à l’impératrice d’Allemagne, femme de Charles VI, une paire de gants tissés ainsi qui surpassaient les plus fins bas de soie, dont l’invention ne remonte pas bien haut, du reste, puisque l’élégant Henri II fut le premier à en porter, lors du mariage de sa soeur Marguerite avec Philibert de Savoie.
Dans la correspondance de Brossette et de Boileau, vous trouverez qu’en 1710, on parlait beaucoup de cette invention, et que M. de Noailles présenta une paire de ces bas merveilleux à la duchesse de Bourgogne. Voltaire, toujours railleur, s’en amusa fort dans Zadig ; mais Montesquieu, plus grave, se préoccupait de cette industrie nouvelle. Cassini, dans une lettre envoyée à M. Bon, encourageait le magistrat dans ses essais « qui, lui disait-il, font beaucoup d’honneur à la Société royale de Montpellier ». Colonia ajoutait que Mocenigo, ambassadeur de Venise, avait voulu faire connaître cette découverte à la République. Fagon, le médecin, avait également écrit une longue lettre de félicitations à Bon de Saint-Hilaire ; le R. P. Vanière lui avait dédié une églogue latine en ce style didactique cher aux Jésuites, et l’abbé Camps lui adressait une épître qui se terminait par ces mots : « On n’a plus qu’à établir des manufactures qui l’emporteront assurément sur celles des vers à soie. »
De tous côtés, on parlait de ces nouveaux bas, d’une légèreté si extravagante qu’ils ne devaient pas être commodes à passer, de ces mitaines merveilleuses, tant et si bien que l’Académie des Sciences, ayant reçu plusieurs spécimens des tissus en soie d’araignée, inventés par Bon de Saint-Hilaire, chargea Réaumur d’examiner les essais du magistrat-filateur. Le savant voulut faire des expériences par lui-même et, dans ses Mémoires, il nous a raconté tout au long les difficultés qu’il éprouva. Pas commode à observer, les araignées ! Tout d’abord, elles se dévoraient entre elles, en un vrai massacre de famille. Pour parer à cette destruction collective, Réaumur dut les élever séparément et leur appliquer le système… cellulaire. Chacune avait sa petite alvéole distincte, son petit « chez soi » ! De plus, comme elles sont exclusivement carnassières, le pauvre savant n’arrivait jamais à se procurer assez de mouches pour les nourrir ! Il chercha autre chose pour alimenter sa petite ménagerie, et, en fin de compte, il reconnut que ses jeunes élèves adorent les plumes de pigeon, nouvellement arrachées et débitées en petits fragments. Tous les goûts sont dans la nature ! A l’automne, chaque araignée file un cocon, contenant ses oeufs. C’est la soie de ces cocons qu’employait le président Bon, pour ses tissus arachnéens, son brouillard tissé, sa brume en dentelles. Réaumur émit l’idée que l’on obtiendrait de meilleurs résultats en opérant sur la soie, telle qu’elle sort des filières de l’araignée, tout en émettant, au surplus, quelques doutes motivés sur l’avenir de cette originale industrie.
C’est dans cette voie que de nouveaux essais furent tentés. Tout d’abord ce fut Raymond de Themeyer qui s’adressa, lui aussi, à l’épeire diadème, puis, plus récemment vers 1848, un industriel anglais, Rolt, qui dans sa maison de Friday-Street, reprenant la question, présentait à la Society of arts de Londres, un échantillon de soie de ce genre, mesurant six mille mètres de long et qui avait été filé en deux heures par vingt-deux grosses araignées de Corée. Cette soie, dévidée à la vapeur, avec une grande rapidité, fut l’objet de grandes discussions. On trouvait que le rendement des araignées tisseuses n’équivalait pas à celui des vers à soie. Tandis qu’il fallait, disait-on, trois mille cinq cents vers pour donner une livre de soie, il aurait fallu vingt-deux mille araignées pour obtenir un produit égal, mais inférieur comme qualité. Il est donc évident qu’à tant faire que d’asservir ainsi les araignées, encore faut-il s’adresser à des espèces vigoureuses et prolifiques. Celles qui possèdent ces qualités sont, paraît-il, celles du Paraguay, où, suivant Walkenaër, la soie d’araignée fut de tout temps employée pour certaines étoffes, celles de la République Argentine, de l’Inde, de la Chine, de l’Australie, dont parla Félix Azura dans ses Récits de voyage. En Chine, il arrive souvent que ces bons Célestes, qui sont de fort ingénieux fraudeurs, mêlent les cocons de soie d’araignée aux véritables cocons du bombyx.
Nos petites araignées locales, ou européennes, ne sont que de pauvres fileuses, que de misérables filandières à côté de ces monstrueuses araignées exotiques, comme celles de la Caroline du Sud, le nephila plumipes, dont le Dr Wilder a également utilisé la soie. Mais la meilleure espèce, la fileuse par excellence, si je m’en rapporte à la Revue des Sciences naturelles, serait une araignée française, ou plutôt coloniale, l’araignée de Madagascar. Il y a là, dans l’ancien royaume de Ranavalo, une araignée malgache, à moins qu’elle ne soit sakalave, tout à fait extraordinaire, qu’on appelle, de son nom indigène, le halabe, ou la nephila madagascariensis, pour ceux qui aiment à donner des petits noms latins aux plus vilaines bêtes de la création. Le halabe est le tambour-major des araignées. C’est un véritable colosse. La femelle, par contre, n’est pas grosse et ne dépasse pas la taille de nos modestes araignées européennes ; mais le mâle est autrement puissant. Son corps mesure cinq centimètres de longueur - ce qui est une taille gigantesque pour une araignée, - avec une envergure de quatorze centimètres d’une extrémité à l’autre des pattes.
Il ne faut pas demander aux halabes de Madagascar de filer à la façon des innocents vers à soie, en formant un cocon régulièrement enroulé. Ce sont des indépendants dont le premier soin est de tisser des dessins géométriques et d’embrouiller leurs fils. On s’y prend donc autrement pour les faire filer, d’après un missionnaire français, le R. P. Camboué, qui a étudié très minutieusement leurs moeurs et a cherché le moyen d’utiliser les produits de ces industrieux insectes. On les met dans des casiers, par groupes de huit, la tête prise comme dans une cangue chinoise, l’abomen émergeant au dehors.
Autant dire que, suivant les bonnes traditions du Théâtre-Libre, les araignées malgaches « jouent de dos ». Les deux faisceaux de fil fournis par les huit araignées, divisées en deux séries, passent par une filière mobile immergée dans l’eau d’une bassine, chauffée par un brûleur ou une lampe placée au-dessous. La croisure du fil s’opère ainsi sous un angle assez aigu, à peu de distance du dévidoir. Celui-ci peut enlever à chaque araignée environ une quarantaine de mètres. Après cette petite opération, on remplace l’araignée, fourbue, par d’autres plus fraîches. Remises en liberté, les araignées, qui ont montré « ce qu’elles avaient dans le ventre », sont, bien entendu, fort mécontentes. On leur rend la bonne humeur et la santé, en leur apportant des mouches, beaucoup de mouches, autant qu’elles en veulent. Cela leur donne du coeur au ventre… comme l’avoine aux chevaux, et les remet en forme pour de nouvelles filatures.
C’est ainsi qu’on met les halabes en coupe réglée. Par sélection, on peut arriver à éduquer ainsi une race solide et bien entraînée. Le R. P. Camboué cite une de ces araignées malgaches qui, en vingt-sept jours de dévidage, fournit quatre mille mètres de fil. Il est inutile d’ajouter que cet exceptionnel sujet, après un semblable tour de force, était fourbu, « claqué » et périt bientôt de faiblesse. Toutefois, il faut remarquer qu’après la ponte, la production du halabe augmente et qu’en une vingtaine de jours, on peut obtenir une moyenne de deux mille mètres. Notre dresseur d’araignées constate aussi qu’avec une température de dix-sept degrés, avec soixante-huit degrés d’humidité, le fil de l’araignée de Madagascar supporte un poids de 3 grammes 26 sans se rompre et s’allonge seulement de douze pour cent. D’après Natalis Rondot, dans son livre sur Les Industries de la Soie, qui n’a pas dédaigné de s’occuper de la soie d’araignée, le fil du halabe mesure de sept à huit millièmes de millimètre, tandis que le fil du ver à soie ordinaire est de onze millièmes de millimètre. Le premier supporte un poids de 4 grammes et s’allonge de vingt-deux pour cent ; le second supporte 3 grammes 76 et s’allonge seulement de treize pour cent.
Au demeurant, c’est une très belle soie que cette soie du halabe, avec laquelle les Betsiléos cousent leurs vêtements : elle est d’un beau jaune d’or et supporte facilement la teinture. La bourre de son cocon se prête aussi aisément à diverses utilisations, et c’est avec elle que les Hovas garnissent et ornent le tuyau de leurs pipes. Renouvelant les essais de Bon de Saint-Hilaire, on était jadis parvenu à tisser à l’île Maurice, quand elle était placée sous le gouvernement du général Decaen, une superbe paire de gants, qui avait été envoyée en hommage à l’Impératrice. Actuellement, à Madagascar, on tisse une fantastique étoffe avec ces écheveaux de fée, et on nous promet pour l’an prochain, pour l’Exposition de 1900, une robe en toile d’araignée, qui laissera loin derrière elle les robes « couleur du temps » dé Cendrillon.
Dans sa conférence du Palais des Consuls, le général Galliéni a omis de nous indiquer cette nouvelle industrie de la Grande Ile, qu’il gouverne. Il ne voulait point vraisemblablement vexer l’amour-propre des filateurs normands qui ne s’attendaient pas à cette originale concurrence ! Et puis le halabe a encore un autre mérite ! Une fois qu’il a livré toute sa soie, il constitue, paraît-il, un excellent mets, et les Hovas, qui font frire dans la graisse ces araignées, en sont très friands, comme des sauterelles qu’ils mangent grillées, après leur avoir arraché les pattes.
On a essayé d’acclimater en France l’araignée fileuse de Madagascar, mais on n’y a guère réussi. Des oeufs avaient été adressés à MM. Fallou et Méguin, de la Société d’acclimatation française. M. Fallou les avait conservés dans un bocal et, au mois d’août, en avait déposé une partie dans un jardin ; ceux-ci disparurent bientôt, mangés par les lézards et les oiseaux. Il est à croire que si on voulait tenter de nouveaux essais, il faudrait, pour les mener à bien, y procéder dans le Midi sous un climat plus favorable que celui de Paris.
Comme on le voit par ces notes rapides, les « fils de la Vierge » qui, aux beaux jours de septembre, s’envolent sous le ciel bleu, ont une autre origine que celle que leur prête la tradition populaire. Ils n’en sont pas moins intéressants, bien que la légende, ainsi que nous l’avons prouvé, soit bien éloignée de la vérité. Elle est trop gracieuse, du reste, pour disparaître, et longtemps encore les mères montreront aux enfants, qui courent par les champs en ces derniers temps des vacances, ces blancs filaments que la Vierge file pour que les petits oiseaux aient chaud pendant l’hiver !...
17 Septembre 1899.
GEORGES DUBOSC
CarpoDingo Vainqueur de concours 6x
Nombre de messages : 13701 Age : 40 APN : K3 II, K1-II et des cailloux Dépt. ou Pays : 09 Date d'inscription : 18/04/2015
C'est cool tout ses retours. Dernièrement sur un chantier, on en parlais avec les proprios proche des 70ans, qui reconnaissaient l'existence des chemtrails de ces flocons et file qui tombe des avions. Les chemtrails serait un pretexte pour la lutte du réchauffement climatique, car son ciel laiteux reflète les rayons du soleil. (Je ne sais plus qui avait posté l'ombre d'un avion projeté au dessus de lui, une photo qui affirme bien qu'il y a un reflet) Au passage notre soleil est maintenant désagréable il ne chauffe plus, il brule ! Suite au différents test effectué en laboratoire, ces cheveux d'ange contienne tout un tas de produit nocif et métaux lourd, pesticide ect... Hors a l'heure actuel, tout ce que ces cheveux d'ange contienne on les retrouves dans le sol, les poissons, l'eau, les animaux et les etres humains... Les insectes meurent et il ne reste que 27% de la totalité globale d'insecte tout confondu. Les abeilles meurent par milliers même en haute altitude là ou rien ne pourrait les affectés, a part, en avion...
Ceux qui arrivent a attraper de ces filaments ou des flocons, brulaient les et vous verrez la différence avec une toile d'araignée. La toile d'araignée brule, et cette substance se rétrécit comme un fil synthétique. Si vous saviez ce qu'est capable de faire ces fils avec la nano technologie...
Encore pour les septiques et ce qui parle de la condensation, la condensation des avions, leur trainée naturel, ne reste que quelques minutes avant de disparaître pour certains même aussitot. La ca ne fait que grossir et prendre de l'ampleur. Faut arrêter avec la condensation. Dire que le phénomène est différents selon les conditions de l'humidité et la température de l'air Ces avions vole a différents espace aerien que les avions transportant le public et font un cadrillage de zone.
Al les photos que tu as posté semble etre les premiers test mené par une branche de l'armée. En plus récents ici :
Ebindindon. Toi tu dois pas manqué une occasion d'aller voté, tu aimes regarder les infos aussi non ? Ben laden était un méchant et vive les américains. Kadafi était dangereux et vive Sarkosy. ? Vive la république ! J'aime bien comment u cherches plus haut que le bout de ton nez. Tu cites en référence un site a tout ca. Tout ce que j'ai pu lire et voir vienne de sourcs et témoignage différent. Professeur, Chimiste, Haut gradé de l'armée, ancien ouvrier de conception des avions chemtrails, témoignage oculaire et bien d'autres...
J'étais septique à la base, et mes recherches et ce que j'ai vu ne fait aucun doute. Maintenant faut arreter de se voiler la face.
Nos gouvernements sont tous des pourris et des vendus, nos politiciens sont des pions et ce qui dirige le monde sont justement tout ces grand patrons, lobby, banques...
Un autre exemple ce sont les meme qui dirige l'OMS, les laboratoires ou on fabrique les virus, les laboratoires ou on lutte contre les virus, nos pharmacie ect... Marrant non ?
Je me marre de tout ca comme ceux qui croit que c'est Ben laden qui a planter des avions dans les tours jumelle. Faut arreter de regarder la télé et prendre tout au pied de la lettre, c'est justement ceux qu'il veulent vraiment savoir trouve la vérité.
Maintenant je ne nierai pas l'existence de ces araignées de mada, (et encore phénomène rare, comme les araignées volante en australie). Ebindidon, je ne nie pas le "vortex" mais tue déjà entendu parler de Projet HAARP et le projet Blue Beam ? Et pour Julie je ne met pas toute la faute au chemtrails. L'être humain a tout détruit...
Une dernière chose a dire a tous, Attelez vous car avec les années a venir on va devoir s'accrocher. Et pour ceux qui croit en la fin de ce monde ô que oui ! croyez y ! Peut etre devriez vous chercher un bon échappatoire
olive8313 8 Gb
Nombre de messages : 1208 Age : 58 APN : Lumix FZ72 + Sony A7 avec 28-70 du kit, 55 f1.8 et 28 f2 + GX80 avec un 14-140, 20mm f1,7 et 45mm f1.8 + Canon G7x MII Dépt. ou Pays : Entre 83 et 13 Date d'inscription : 25/12/2014
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Ven 16 Nov 2018 - 13:55
Pour remettre un peu de photo et relancer le sujet, sur proposition de CarpoDingo qui m'a fait découvrir ce fil que je ne connaissait pas.
Alligator427.67 Vainqueur de concours 2x
Nombre de messages : 61802 Age : 60 APN : GX8, FZ300 , TG-5, Pentax W60, Coolpix 5700, Finepix Z2 Dépt. ou Pays : Alsace Date d'inscription : 31/07/2017
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Ven 16 Nov 2018 - 14:01
C'est effectivement adapté.
Patlaine 16 Gb
Nombre de messages : 1619 Age : 70 APN : OMD E-M1 MarkIII - OMD E-M1, et quelques cailloux Dépt. ou Pays : 38 Date d'inscription : 24/09/2018
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Ven 16 Nov 2018 - 22:45
Un must ....
Mendulphin 16 Gb
Nombre de messages : 2127 Age : 70 APN : Olympus EM 10 Dépt. ou Pays : 44 & 94 Date d'inscription : 10/09/2014
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Sam 17 Nov 2018 - 8:37
. Belle image pleine de détails.
=iA= 4 Gb
Nombre de messages : 759 Age : 105 APN : FZ 1000 Dépt. ou Pays : Grèce / Halkidiki Date d'inscription : 06/10/2017
Sujet: Re: [FIL OUVERT] Chemtrails Sam 17 Nov 2018 - 10:27
Chouette un fil ouvert conspirationniste !...
Chez nous, tout le monde sait que ce sont les dieux qui nous font lever les yeux au cieux. Mais en Suisse ils disent que c'est la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu... Alors après tout, chacun est libre de croire ce qu'il veut. Ben si...