LEICA M MONOCHROME

Je découvre ce sujet, je vais essayer d'apporter ma modeste contribution.

Pour les Sigma Merrill, j'ai eu DP1M et DP2M en même temps.
Les N&B étaient tant délicieux que j'en oubliais tout le reste.
A savoir la visée via écran, la lenteur d'enregistrement, la butée 200ISO raisonnable, etc...
Mais faire une photo avec un petit boitier discret et la voir s'épanouir sous le logiciel Sigma, oh le bonheur!

Pour en revenir à Leica, et comme il était écrit dans un crime survenu en France: "Leica m'a tuer".
J'ai eu un M8, avec son Cron 35 made in Canada; presque la solution du pauvre, dira-t-on.
Il est venu parce que, autrefois, j'étais tombé sous le charme d'un M6 de prêt avec son 50 f/2.
C'est surprenant par son poids et son encombrement, presque "mastoc".
Mais, même si l'outil ne fait pas la photo, c'était comme le prolongement naturel de mon regard.
Rien de superflu, 1 boitier + 1 objectif, what else?
Je cadrais, je faisais la MAP, je déclenchais, what else?
Nous étions ensemble pour la vie... jusqu'à un obtu HS à moins de 5000 clics.
Et c'est là que j'ai réalisé ma pauvreté, mon inadmissible présence chez les riches!
700€ de devis non négociable, et même + si je voulais un délai + court.
Aucune réparation possible en France, direction Solms, ou bien ton boitier devient un serre-livres.
Je l'ai fait réparer et je l'ai revendu ainsi, me disant que Leica et moi c'est fini.

Sauf que, moi aussi, le MM extrémiste est venu me narguer... et il me hante toujours.
Et qu'un duo MM numérique + M6 argentique, avec un 28 et un 50, c'est comme un rêve.

DBLG a écrit:

Bonsoir,

Puisque tu parles de revenir lentement mais sûrement au noir et blanc, pourquoi ne pas envisager le retour à l'argentique ?

Daddy

@DGS

Un Yashica MAT 124G pour utiliser de la diapo (*) du film monochrome Kodak TMAX ISO 100 de120, ça te dirait?

(*) Erratum

Tu veux dire du négatif Tmax ? ;-)

Fanchik a écrit:

@DGS

Un Yashica MAT 124G pour utiliser de la diapo monochrome Kodak TMAX ISO 100 de120, ça te dirait?

Non merci Franchik
J'ai eu du gros matériel en 6x6, surtout très lourd, j'ai encore un Rolleicord, pas un -flex, qui traîne dans une boîte et d'autres boîtiers argentiques encore dont le Vollenda 4.5x6 qui a fait l'AFN avec moi.

De ce côté là je suis pourvu, mais comme je l'ai déjà écrit la chimie ne m'intéresse plus beaucoup, et je trouve qu'il est bien plus confortable de pouvoir travailler à l'écran que dans la pénombre si ce n'est le noir total d'un labo.
Tiens ! La photo que j'ai posté hier dans le hors concours est une solarisation dans PS-Nick Collection après développement dans LR. C'est quand même bien plus confortable de tirer des curseurs assis dans un fauteuil et de contrôler les effets qui en résultent, que de faire des essais d'éclairage au-dessus d'une cuve de développement.

Je ne jette pas l'anathème sur la nostalgie de la chambre noire, loin de là, mais les progrès et les facilités que nous offrent les techniques modernes, ne sont pas à négliger non plus. N'est pas Gillou ?

Et pour en revenir au point de départ de ce post, Leica est une chose ... mais les autres ne sont pas mal non-plus et à l'heure où il convient de choisir le bon rapport qualité (utile) /prix, le non-choix devient plus évident ... le choix, le bon, reste une autre paire de manches

A f8 un bonheur le 124G. La Tmax c'est du négatif, mais il y a toujours de la couleur disponible et même de la diapo.
Mais ce n'est pas le format le plus facile à développer et en admettant avoir recours à un labo, à scanner c'est la misère. Un 6X6 n'est jamais suffisamment propre, amies pétouilles bonjour !
Mais on peut descendre à un format plus raisonnable et un peu moins sensible à la poussière. Tiens, un modèle de 1956 par exemple et une optique de 1958.

 

 

Désolé mais le temps a passé sur les négatifs.

C'est vrai que c'étaient de belles mécaniques ... qui servent encore parfois de modèle aujourd'hui.

Le principal, c'est de faire développer les films. Retrouver le modelé, le piqué, sans tomber dans cette accentuation quasi artificielle.
Si tu veux faire des essais, dis-moi. Je te prête un boitier reflex si tu n'en as pas sous la main.

andros74 a écrit:

Le principal, c'est de faire développer les films. Retrouver le modelé, le piqué, sans tomber dans cette accentuation quasi artificielle.

Tu as raison, et je pense que tout est une question de retenue en manipulant les curseurs.

C'est amusant, il y a cinquante ans nous cherchions justement ce rendu lisse avec des contrastes très progressifs sur la plage la plus large possible ... aujourd'hui ça existe et c'est exactement l'inverse on nous propose des algorithmes pour retrouver les grains d’antan avec les dominantes couleurs spécifiques à chaque pellicules ...

Comme quoi le monde n'est jamais satisfait, et "c'était mieux avant!" est loin d'être mort

dans ce cas, plutôt que du "c'était mieux avant",
je crois que c'est un goût qui s'est développé pour ce que l'on a d'abord considéré comme un défaut,puis est devenu un élément de style, un caractère.
Il en est de même du bokeh tournant, ne penses-tu pas DGS ? (et les autres)

C'était en effet différent, pas obligatoirement mieux. On avait aussi intégré les styles, les façons de faire précédentes, on baignait dans une "culture" de l'image, on faisait aussi confiance aux photographes. On avait tort parfois.
Et puis les appareils, même les plus chics, étaient finalement simples. Aujourd'hui je n'ai pas mémorisé 25% des menus de mes Pana.
Si le LX 100 avait un écran articulé, je l'aurais acheté. A moins qu'un Fuji... très cher. Enfin ceux qui ont un barillet pour les vitesses et une couronne crantée pour les diaph.

andros74 a écrit:

C'était en effet différent, pas obligatoirement mieux. On avait aussi intégré les styles, les façons de faire précédentes, on baignait dans une "culture" de l'image, on faisait aussi confiance aux photographes. On avait tort parfois.
Et puis les appareils, même les plus chics, étaient finalement simples. Aujourd'hui je n'ai pas mémorisé 25% des menus de mes Pana.
Si le LX 100 avait un écran articulé, je l'aurais acheté. A moins qu'un Fuji...  très cher. Enfin ceux qui ont un barillet pour les vitesses et une couronne crantée pour les diaph.

jeanba3000 a écrit:

Tu veux dire du négatif Tmax ? ;-)

A en croire Digixo.com cela existerait en diapos, mais ce doit être du négatif j'imagine...

@ Mélusin
Le bokeh est l'exemple typique !!!
En argentique c'était l’horreur, ce nom était d'ailleurs méconnu et il n'y a que quelques années que j'ai appris ce que c'était ... aujourd'hui il faut des bulles à en faire pâlir un quart Perrier.

@ autres

L'écran articulé sur le LX 100 ne me manque pas trop, dans la mesure où pour faire des photos particulières où l'écran articulé est quasiment indispensable, j'ai le GX7 qui continue à faire son petit bonhomme de chemin.

J'ai lu un article pas mal sur les compacts : http://www.01net.com/actualites/le-top-10-des-meilleurs-compacts-experts-643422.html , qui prend un peu le contre-pied des Numériques. Ce qui m'a amené à réviser un peu mon opinion sur les Fufi  et particulièrement le X30 lorsque j'ai vu cette image.

Là je ne sais pas si Leica fait mieux ?!

Daniel, le "boken", c'est le flou d'arrière plan et ça existe depuis les débuts de la photo. Ce que tu décris est une particularité de certains objectifs qui se manifeste plus avec certains objectifs argentiques monter sur des APN.
Les Fuji sont réputés pour leurs traitements particuliers de ces .jpg mais si tu pars de leurs fichiers RAW, je ne suis pas sur qu'ils surpassent d'autres APN.

DGS a écrit:

Fanchik a écrit:

@DGS

Un Yashica MAT 124G pour utiliser de la diapo monochrome Kodak TMAX ISO 100 de120, ça te dirait?

(...) comme je l'ai déjà écrit la chimie ne m'intéresse plus beaucoup, et je trouve qu'il est bien plus confortable de pouvoir travailler à l'écran que dans la pénombre si ce n'est le noir total d'un labo.
Tiens ! La photo que j'ai posté hier dans le hors concours est une solarisation dans PS-Nick Collection après développement dans LR. C'est quand même bien plus confortable de tirer des curseurs assis dans un fauteuil et de contrôler les effets qui en résultent, que de faire des essais d'éclairage au-dessus d'une cuve de développement.

(...)

C'est clair! C'était ine boutade...

Fanchik a écrit:

A en croire Digixo.com cela existerait en diapos, mais ce doit être du négatif j'imagine...

C'est clairement une erreur de leur part. :-)

à JPG, qui, au sujet du bokeh, a écrit :
"ce nom était d'ailleurs méconnu et il n'y a que quelques années"

quand j'ai eu connaissance de ce mot, une 10ne d'année aprés son introduction (semble-t-il, si j'en crois l'article de wikipedia), j'ai d'abord considéré que c'était de la novlangue de snobs ;
et puis, je l'ai adopté, trouvant qu'il comblait un double manque du fait que  :
- "flou artistique" était devenue une expression utilisée pour qualifier n'importe quoi, et surtout, du "n'importe-quoi", de façon trés péjorative, et sans rapport avec quelqu'art que ce soit.

- flou artistique -en photo- désignait la perte de piqué hors du champ de focus. Point.

dés lors que les "défauts" et abérrations hors du champ de netteté devenaient des éléments de la composition, il devenait utile de trouver un mot , pour désigner une notion (assez floue elle-m^me). Notons qu'il n'est pas issue de la sphère anglophone.

DGS a écrit:

(...) Comme quoi le monde n'est jamais satisfait, et "c'était mieux avant!" est loin d'être mort

Mouais ... perso les disques vinyles qui craquent, les peloches qui te coutent la peaux des fesses au traitement & tirage, les vélos en tube de plomberie de 15Kg, les motos & les voitures qui ne freinaient pas, etc. je n'en ai aune nostalgie.

Pour la visée des TLR dont on parlait plus haut, à main levée je n'ai jamais réussi à m'y faire par exemple!

Les TLR (twin-lens reflex) comme tu l'écris ne manquaient pas de charme, puis ça faisait imposant ou important (je ne sais plus!) là aussi la bataille faisait rage dans le moyen format, et très sincèrement entre un Mamiya 220 ou 330 et un Blad on ne voyait pas de différence en qualité sur les négatifs à part les petites encoches sur les côtés.

Mais tu as raison, car aujourd'hui avec un bidule que tu trimbale dans le fond de ta poche, tu fais d'aussi bonnes photos ... alors pourquoi se mettre martel en tête ?

Et pourtant tu as un Yashica 124G comme avatar ;-)

J'ai appris la photo avec un TLR il y a bien 25 ans, et aujourd'hui deux Rolleiflex — 2,8F et Grand-angle — sont toujours mes principaux appareils, il arrive par périodes que je les délaisse mais je finis toujours par y revenir, je suis en quelque sorte comme Obélix : « tombé dedans petit, les effets sont permanents »…
Le bi-objectif, avec l'attitude humble que sa visée impose et son charme désuet, provoque autant la curiosité que la sympathie autour de soi sur toute la planète, ce qui n'est pas toujours le cas des reflex et autres appareils qu'on pointe depuis l'œil vers son sujet tel une menace…
Il sait également être discret avec son obturateur central moins bruyant qu'un Leica M pourtant réputé sur ce point, et planqué sous le manteau il se remarque peu car les gens sont habitués à ce qu'un appareil photo soit au bout des bras tendus et/ou au niveau du visage…

Cela dit les numériques actuels avec leurs écrans orientables et leurs obturateurs numériques parfaitement silencieux n'ont techniquement pas grand chose à lui envier ; reste le charme, le plaisir de tenir en main un monument de l'histoire photographique et celui d'une ergonomie différente, un peu comme faire de la peinture à l'huile plutôt que peindre sur un ordi avec une tablette graphique (et pourtant je bosse avec des Wacom depuis bientôt 20 ans).

Pour en revenir au M Monochrom, je reste dubitatif devant le concept alors qu'il suffit d'un réglage pour obtenir la même chose avec un appareil RVB, et que vu l'évolution du numérique notamment sur la sensibilité, la gestion du bruit, etc., il me semble peu logique de mettre autant dans un appareil si rapidement dépassé.
Ou alors on considère qu'on a atteint un niveau de qualité suffisant, mature, sans trop se poser la question de la pérennité, et on s'en satisfait.
Il n'est pas non plus interdit de se faire plaisir, ni d'être follement irrationnel car on n'a qu'une vie !

Mélusin a écrit:

à JPG, qui, au sujet du bokeh, a écrit :
"ce nom était d'ailleurs méconnu et il n'y a que quelques années"

C'est pas moi qui "n'a dit ça.

"C'est pas moi qui "n'a dit ça."

ah, excuses-m'en STP jpg, j'ai confondu avec DGS, en effet

Pas de quoi.

Salut Jean-Paul

C'est vrai quoi, y en a un qui est plus beau que l'autre ...menfin !!!

C'est d'qui qu'tu causes Françoè ?

jeanba3000 a écrit:

Et pourtant tu as un Yashica 124G comme avatar ;-)

(...)

Ben ouais mais j'en ai un aussi comme neuf, c'est mon dernier & seul appareil argentique désormais, mais je ne m'en sers plus, car dans mon trou du cul du monde l'argentique n'est pas pratique & revient cher à l'usage...

Juste pour dire:
avec le 124G, comme avec un Semflex, je faisais de la photo sportive !
De l'illustration , touches et mêlées de rugby, si j'étais du bon côté. En salle, basket, hand, volley, 400 Asa poussée à 800 parfois. A 400, au flash, 60eme f5,6 et ça rentrait. C'était pas l'équipe mag, mais ça rentrait.
Pour les manifs, les visites officielles, etc... le boitier à l'envers au-dessus de la tête, je n'avais pas à me promener avec un tabouret ou un escabeau.
Quant au format carré, les clichés étaient systématiquement recadrés au labo.
Les vrais pro, comme Doisneau et d'autres, faisaient des tirages contact et dessinaient directement ce qu'ils souhaitaient pour leur tireur et complice. En ce qui le concerne, il y a beaucoup de recadrages dans les bouquins qui retracent son parcours au Rollei.
Le commentaire de Jeanba3000 est tout à fait pertinent sur l'utilisation actuelle du 6X6.
Mais d'accord avec DGS pour abandonner l'idée de repartir dans la chimie. Mes cuves Paterson et ma cuve Kodak en bois peuvent dormir tranquillement.

C'est vrai que j'ai la chance d'être Parisien, avec tout ce qu'il faut à portée de vélo (Photostock dans le 19e, Negatif+ et Processus comme labo, plus la bonne vieille Paterson dans la cuisine et l'Imacon dans le bureau, hélas le Durst M800 git démonté dans le cagibi, ayant du céder sa place sur le lave-linge dans la salle de bain à un matelas à langer (la vie quoi)…

andros74 a écrit:

...Le commentaire de Jeanba3000 est tout à fait pertinent sur l'utilisation actuelle du 6X6.
...

"Il sait également être discret avec son obturateur central moins bruyant qu'un Leica M pourtant réputé sur ce point, et planqué sous le manteau il se remarque peu car les gens sont habitués à ce qu'un appareil photo soit au bout des bras tendus et/ou au niveau du visage…" écrivait-il

Avec un GX7 ou tout autre APN avec un écran basculant, ça fonctionne également.

jeanba3000 a écrit:

C'est vrai que j'ai la chance d'être Parisien, avec tout ce qu'il faut à portée de vélo (Photostock dans le 19e, Negatif+ et Processus comme labo, plus la bonne vieille Paterson dans la cuisine et l'Imacon dans le bureau, hélas le Durst M800 git démonté dans le cagibi, ayant du céder sa place sur le lave-linge dans la salle de bain à un matelas à langer (la vie quoi)…

Je suis aussi passé par là ... il y a longtemps !!!

Il y avait aussi l'Exacta qui avait une visée supérieure !!!

Daniel, j'ai encore mes cuves Jobo (très pratique pour l'inversion des diapos couleurs Afga et les diapos N/B avec des spires transparentes et faciles à rembobiner humides) dans un coin très très loin, mes 2 objectifs d'agrandisseur (Rodenstock et Nikkor pour travailler dans les clubs de mon coin). Il me reste aussi mon RolleiFlex SL32E avec le Planar 50 f:1.8 Made In Singapour et 2 objectifs Sigma.

Salut Jean-Paul,
Tout mon matériel, agrandisseur et cuve Jobo plus tout le petit matos se trouve dans un club photo d'un patelin pas bien loin de chez moi ... malheureusement ils n'en font rien.
Evidemment ce n'est pas aussi aisé que l'informatique, mais à mon avis ils n'ont pas tout à fait raison, car pour apprendre et comprendre ce qu'il se passe, et pourquoi on pousse les curseurs à l'écran, la pratique de la chambre noire me semble rester une bonne chose.

Oui, s'être frotté à l'argentique permet d'avoir une bonne approche pour la photo numérique. Je suis en train de faire de la simulation de film et en projet la génération du grain argentique.

JPG, « s'être frotté à l'argentique permet d'avoir une bonne approche pour la photo argentique numérique » je suppose ? ;-)

Complètement d'accord, c'est comme en école d'arts graphiques, on commence par apprendre à se servir d'un crayon et d'un pinceau avant d'apprendre à se servir d'une souris.

Effel74, j'ai collectionné un moment les appareils format 127, dont un Exakta VP B, bel appareil, curieux avec sa forme et son déclencheur à gauche.

JPG, j'ai pas mal réduit la voilure en arrêtant la collectionite, mais j'ai encore pas mal d'appareils, Pen F (le vrai), Mamiya Six, deux Rolleiflex donc, chambres Arca 6x9, 4x5" et 8x10", 6x9 bricolé, chambre Plaubel Peco Jr 6x9 modifiée et j'en passe… Mon dernier jouet est un Hasselblad ArcBody 6x6 avec 45 (et 35 adapté perso pas encore testé). Certains appareils prennent la poussière comme mon petit Rollei 35 S noir mais le peu qu'ils valent aujourd'hui me fendrait le cœur de m'en débarrasser.

En numérique je ne cherche pas à imiter l'argentique, de toute façon j'essaie de passer le moins de temps à faire du post-traitement possible, à la fois par flemme et aussi parce qu'en tant que graphiste, je passe déjà mes journées devant un ordi à bosser de l'image, alors j'ai ma dose… Et puis quand je vois la quantité de photos numériques qui s'entasse dans mes disques durs toujours plus gros, finalement être limité par la péloche est assez apaisant, et exigeant du coup puisqu'on essaie forcément d'en rater le moins possible.

Ha lalla, quand on tourne pas 7 fois son mulot avant de poster.
@jeanba3000 t'a fait d'accord avec toi, pour mes photos, je préfère tout faire pour avoir de bonnes photos à la prise de vue que devant mon ordinateur. De toute façon, tous les logiciels du monde ne pourrons jamais faire une mauvaise photo une merveille.
Pour la simulation de film et la génération du grain (en numérique), je travaille surtout avec des logiciels Open Source sous Linux et j'essaie de les pousser dans leurs derniers retranchements. Actuellement, je compile ces derniers pour être au fait de leur derniers développements.