1)
l'éclairage est étonnant, on dirait un décor de théatre/opéra.
Je me demande si le cadrage n'aurait pas gagné à donner plus d'espace du côté où "regarde" le molino principal ; et en exposant un poil moins, du coup, pour garder la même place à ce plombé du ciel.
5)
le Quichote manque de piqué et de contraste (présence d'une vitre avec reflets?
).
Sa pique est coupée : dommage de prime abord ; à la réflexion, ce peut-être métaphorique de son impuissance* : et là j'applaudis.
(* d'ailleurs, le serrurier-sculpteur n'a-t-il pas choisi avec le même procédé de nous montrer un écervelé ?)