Humeur (e dans l'o?)

Voici un truc pas du tout consensuel ...
Et sans calembour ... mais avec un léger agacement ...

http://scibor-serge-camusard.over-blog.com/2018/07/humeur-e-dans-l-o.html

en espérant bientôt renouer avec un peu de dignité ...
Cordialement

Plus que d'accord avec ton agacement... Y en a marre du foot, et plus encore de toute cette récupération politico -médiatique qui nous empoisonne de sa diarrhée verbale...

Sport pro = sport spectacle mais au catch au moins on ne nous le cache pas. Politique = communication = mise en scène => spectacle. Coluche avait raison de parler de concurrence déloyale et en plus on est loin de la qualité des débats de la III° République.

Alligator427.67, jpvpassions, Yves3464  j'apprécie votre passage par ici  ... cette connivence en commentaires m'agrée ... Merci, à bientôt ...
Un ajout, la logorrhée (nom "distingué" pour la diarrhée verbeuse) n'offre pas le plaisir de la presse écrite permettant
de voir, après certain usage, sur des postérieurs célèbres "imprimés à l'envers les potins, les échos des faits divers" ...

Quant au noble mot de politique ... il me semble qu'il a signifié : gestion de la cité ... mais il doit, pour certains, s'agir d'une langue morte ...

ET oui on n'oublie les soucis du quotidien, anesthésier par les images et les paroles, donc j'irai d'une chanson qui m'est revenu à l'esprit et dont on peut adapter les paroles selon son gout, voici donc la version originale à vous de transformer les couplets suivant votre humeur du moment !

Si nous pouvions revivre 52 avant Jésus-Christ
Dans ces heures héroïques sur le plateau de Gergovie
Quand César au beau fixe pris la raclée de sa vie
Vercingétorix lança ce chant magique

Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelle
Et moi pendant c'temps là je chantais dans les bois
La la la la la la

L'esprit gaulois est toujours là, poursuivons le combat
A toi le guerrier auvergnat cette chanson est pour toi
Les jaunes et bleus sont tous armés pour conquérir le bouclier
Au Gabriel Montpied les parisiens mangent la potée



Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelle
Et moi pendant c'temps là je chantais dans les bois
La la la la la la

Nous festoyons de nos conquêtes au pied de nos volcans
Où le druide à roulette sur ses patins nous attend
Nous abreuvant de sa potion qui nous rend la passion
Puis nous partons au p'tit matin en chantant ce refrain

Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelle
Et moi pendant c'temps là je chantais dans les bois
La la la la la la

Salut jpc56 ... sourire sans gauloiserie ... merci pour ta visite ...

Mon copain Charles (Baudelaire) écrivait en 1869 (Condition Humaine):

Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.

Chacun ses chimères.
Merci Chant

Filou

Hé bien, Filou, d'abord merci d'être passé (formulation quasi sinistre) ... ensuite, en prenant de la hauteur en compagnie du montreur d'albatros j'ose :
"j'ai plus de souvenirs que si j'étais milan"

Super ce post !!!
J'apprécie beaucoup ce genre de discussions

Quant à moi, Lison, j'apprécie ce partage ! Et l'emploi du terme "discussions" me convient au plus haut point !

chant de Pyrène a écrit:

Hé bien, Filou, d'abord merci d'être passé (formulation quasi sinistre) ... ensuite, en prenant de la hauteur en compagnie du montreur d'albatros j'ose :
"j'ai plus de souvenirs que si j'étais milan"

Je te rassure, je suis toujours vivant, toujours debout

Bon ! j'admets "je suis toujours vivant, toujours debout" ... ne serait-ce que par ta nouvelle visite assortie d'un commentaire ... Pour plaisanter... à un blablateur s'interrogeant sur "y a t-il une vie après la mort?" un type goguenard lui rétorqua : "Ah bon ?! Mais ... y en a-t-il une avant ?"