"Arts comptant pour rien" dans les crayères

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Art comptant pour rien... by Jean-Marc REMY, sur Flickr

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Art comptant pour rien... 2 by Jean-Marc REMY, sur Flickr

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Art contemporain chez Pommery la suite...5 by Jean-Marc REMY, sur Flickr

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Art contemporain chez Pommery 6 by Jean-Marc REMY, sur Flickr

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Art comptant pour rien... by Jean-Marc REMY, sur Flickr

Je pense avoir le niveau pour faire l'expo l'année prochaine, surtout les 2 premières !

En tout cas ces "oeuvres" sont bien mises en lumière, série agréable !

Merci bidulon,

Pour ta visite et ton commentaire.



Je sais... Critiquer l'art contemporain peut me valoir de me faire taxer de réac ou de poujadiste... Mais franchement, j'ai du mal à m'extasier devant un tas de déchets ou une construction en panier à salade et seaux en plastique.
Si une seul personne bien pensante me donne sa vision de "l'oeuvre", ça n'est pas pour ça que je vais hurler avec les loups ou plutôt bêler avec les moutons...

Idem pour l'interprétation des "oeuvres contemporaines" les colliers de nouilles et les personnages en rouleaux de PQ des colonies de vacances en font partie ?
J'aime tout de même certaines "sculptures-soudures-montages" à base de vieux outils et fers à cheval, même si un volant d'embrayage + du fer à béton ne remplacent pas le soleil.

Pour en revenir aux photos de ces "oeuvres" je ne sais pas si la mise en lumière et en ombres n'est pas la plus intéressante. Dans cette optique ma préférence va à la photo numéro 4

Merci Yves,

Pour ton passage et le partage de ton ressenti.

La métaphysique de l'art contemporain est une réflexion philosophique qui a pour objet la connaissance rationnelle de la nature des choses, ici nous avons des œuvres qui ont une symbolique visuelle qui doivent faire réfléchir sur le devenir de ces choses inertes et sans pensées, cela donne des idées de décoration par le recyclage de celles-ci et résous le problème des décharges sauvages, l'impact de ces œuvres est difficilement mesurable sur la vente du champagne Pommery, mais contribue à faire évoluer le visiteur dans un environnement surréaliste sans avoir pris de substances hallucinogènes, donc beaucoup moins nocive, mais toute aussi déroutante voilà bon je vais prendre mes cachets et aller m'allonger !

Mais en conclusions et plus simplement se sont des photos étonnantes avec des éclairages orientés

jpc56 a écrit:

La métaphysique de l'art contemporain est une réflexion philosophique qui a pour objet la connaissance rationnelle de la nature des choses, ici nous avons des œuvres qui ont une symbolique visuelle qui doivent faire réfléchir sur le devenir de ces choses inertes et sans pensées, cela donne des idées de décoration par le recyclage de celles-ci et résous le problème des décharges sauvages, l'impact de ces œuvres est difficilement mesurable sur la vente du champagne Pommery, mais contribue à faire évoluer le visiteur dans un environnement surréaliste sans avoir pris de substances hallucinogènes, donc beaucoup moins nocive, mais toute aussi déroutante voilà bon je vais prendre mes cachets et aller m'allonger !

Mais en conclusions et plus simplement se sont des photos étonnantes avec des éclairages orientés

bien dit !

Merci Jean-Pierre,

Pour ta visite et ton commentaire, intéressant quoiqu'alambiqué.

Tout a été dis +1 pour la 4 elles sont chouette ses ampoules

Vu qu'il fait un temps de chien pluie continuelle et froid on passe celui-ci en méditant bon je rigole j'avais envie de partir dans un délire, comme on voit parfois pour décrire un livre, une peinture, une sculpture etc, on n'y comprend strictement rien et pour finir les termes "prendre du plaisir à regarder ou lire" suffisent

Et je te suis dans tout ça Jean-Pierre.

Alligator427.67 a écrit:

Critiquer l'art contemporain peut me valoir de me faire taxer de réac ou de poujadiste...  ...

oui.

la contemporanéité est-elle en soi une tare ?
Toute la production d'une époque mérite-t-elle d'être rejetée par les "contents pour rien"
n'y a-t-il pas quelques productions qui questionnent, ce qui est une fonction plus respectable -à mon sens-
que d'être joliment décoratif.

Du reste, pourquoi alors en faire des photos : un documentaire sur la laideur ?
fallait-il nous les montrer ?
Soit pourvu qu'elles soient de belles représentations (mais le dénigrement du titre les éclabousse !)

pour les longues soirées d'hiver :
- penser que la production de Johann Sebastian Bach était méprisée par les édiles de Leipzig (qui pourtant l'avaient embauché) qui lui préféraient le style galant -au goût du jour-, plus "gentil", plus easy listening (pour parler à la manière branchée) d'un Telemann ...
- penser que la peinture Impressionniste à dû attendre presque un siècle pour qu'un large public (dont nous sommes) l'apprécie ...
- et lire -parmi d'autres article- ce "corrigé" du Bac philo 2017 - Série ES : https://www.philomag.com/bac-philo/copies-de-reves/une-oeuvre-dart-est-elle-necessairement-belle-24435
à bons lecteurs, salut !

Merci mélusin,

Pour ta visite et ton propos.



Ce n'est pas la contemporanéité de l'art qui me gêne, mais le fait qu'aujourd'hui l'art n'est souvent même plus le travail d'un artiste. Il n'y a plus forcément la volonté de plaire. On est bien au delà du principe de beauté celui-ci ayant été remplacé par le concept qui peut être absolument n'importe quoi...
L'art n'est plus qu'une gigantesque pompe à fric permettant aux plus fortunés de défiscaliser et de mettre à l'abris leur argent sur des objets qui n'ont que la valeur que la DRAC a bien voulu leur donner gracieusement à l'aide de nos impôts...

Alligator427.67 a écrit:

Il n'y a plus forcément la volonté de plaire.

plaire, c'est la préoccupation du flatteur, du seducteur, du courtisan, du commercial
si c'est celle d' artiste, c'est qu'il faut bien qu'il mange (ou qu'il soigne son égo)

Alligator427.67 a écrit:

On est bien au delà du principe de beauté

et heureusement , puisque le concept de beauté n'est pas encore défini, si ce l'est par les Académies qui jouent le rôle de congélateur des idées.

Alligator427.67 a écrit:

L'art n'est plus qu'une gigantesque pompe à fric permettant aux plus fortunés de défiscaliser et de mettre à l'abris leur argent sur des objets qui n'ont que la valeur que la DRAC a bien voulu leur donner gracieusement à l'aide de nos impôts...

- c'est surtout les collectionneurs qui sont défiscalisés ; l'art n'est pas en cause, mais la fiscalité, oui !
- il y a toujours des politiciens incultes pour prétendre que l'art n'était pas subventionné dans ce bel AVANT, et même un ancien prof de philo qui a été ministre de l'Enseignement (https://www.lemonde.fr/idees/article/2013/06/03/luc-ferry-et-l-art-ne-comptant-pour-rien_3422897_3232.html)
les artistes les plus connus jouissaient de commandes de ceux qui prélevaient l'impôt, ou étaient entretenus :
quelque noms : Michel-Ange, Léonard de Vinci, David, Fragonard, Monteverdi, Vivaldi, Bach, Haydn, Beethoven (jusqu'en 1808), Lully ... etc la commande publique est aussi vieille que l'art, m^me si la forme en a changé.
Simpliste d'argumenter de celà en 20 lignes, mais je vais m'en tenir là.

Effectivement, restons en là, je crois que nous ne serons jamais d'accord la dessu.