Vous me faites bien rire

tres bel objet que cette mitraillette a emotions :-)

C'est génial

superbe objet!

D'où le verbe à la mode pour parler de photographier : SHOOTER.

J'ai une crosse "similaire" de chez Kaiser avec une vis identique à celle d'un pied que j'utilisais avec mes télés... quand j'avais le Zénit... qui commercialisait d'ailleurs un ensemble, idem chez novoflex, je crois... le déclenchement se faisait par une gachette qui actionnait un déclencheur souple (comme nous l'a présenté Sam par ailleurs...).0n pouvait fixer indifféremment l'appareil ou la bague d'objectif...
Mais la tourelle porte-objos, ça je n'avais jamais vu !!

Bonjour,

Une autre approche de la "facilitation" apportée par l'Immense Walter Benser, qui promouvait la marque LEITZ.

Pour les Leica M il proposait une semelle de boitier marquée W B et qui avait deux baïonnettes en monture M qui permettait d'avoir toujours trois focales sous la main, un objectif monté sur le boitier et deux autres fixés avec la protection de la baïonnette Leitz sous le boitier, comme une poignée.

Une "presque loi" disait qu'un vrai photographe couvrait absolument (ou presque) tous ses besoins avec cette gamme:

Summicron 35 mm Summicron 50 mm et Elmar 90 mm (je les ai toujours dans la mallette Leitz)

Aujourd'hui pour se payer cela il faut diriger EDF et Véolia

Il proposait aussi le fameux sac Benser, en cuir souple qui se dégageait entièrement de l'appareil grâce à deux œillets dans lesquels passaient la courroie, mais la taille des oeillets autorisait de déplacer le sac entièrement.

Et qui n'a pas assisté à une projection de dias positives prises au Leica et projetées avec un PRADOVIT avec optique LEITZ n'a qu'une vision partielle des la qualité possible du film 35 mm, seul un projecteur de la même marque mais vendu par LINHOF en moyen format pulvérisait ces hautes performances.

J'ai eu le bonheur de seconder Walter Benser lors d'une projection, un maniaque absolu, mais quel photographe !